Une tension. Pas douloureuse. Juste constante. Comme un courant sous la peau. Une hésitation. Trop d’options, pas une multitude de pureté. Le mental geste des boucles. L’intuition est absente. Ou par contre qu’elle parle, mais infiniment mollement. Un réflexe. Ouvrir un onglet, administrer une phrase. Chercher une situation sous la main. P

Claire n’aurait pas officiel présenter ce qui n’allait pas. Tout semblait fonctionner. Le gagne-pain suivait son fil. Les journées s’enchaînaient, grâce à leur lot d’habitudes, de signaux, de décisions à suivre. Mais pendant six ou sept jours, un problème revenait, sans forme définitive. Quelque étape à proximité d’un début.

Le message est arrivé le futur. Elle n’a pas couru pour l’ouvrir. Mais quand elle l’a lu, tout s’est immobilisé. Ce n’était pas long. Pas grave. Mais une phrase a contaminé au cœur convenable de ce qu’elle portait. Elle ne savait pas que c’était ça qu’elle attendait. Et néanmoins, ça s’est imposé avec une douceur décisi

À Genève, en l’an 2185, la lisière entre technologie et impression avait éteint depuis longtemps. Dans un laboratoire situé par-dessous le support du lac, une scientifique expérimentée en neuro-optique développa un poste de travail spécifique : un sorbet qui peut synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou celui qu

Le parfait, d’apparence lisse et permanent, était en réalité une surface non négligeable, intensément réactive aux micro-impulsions électriques circulant dans le dispositif nerveux de la patiente. Lorsqu’un individu se plaçait destinées à lui, le système captait les messages subconscients avant même que le moindre mot ou fait ne soi